Chaque année, c’est pareil. Les gros numéros encombrent les mannes des ostréiculteurs qui doivent les revendre à des prix dérisoires : un euro, parfois un peu plus pour le kilo de n° 1, souvent moins pour le 0 et le 00. Destination l’Italie, voire l’Espagne et le Portugal, et même la Chine. « Quand on
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En Bretagne sud, les étoiles de mer Asterias rubens et Marthasterias glacialis sont passées du statut de prédateur redoutable à…
Face à l’explosion des populations de poulpe depuis 2021 sur les côtes bretonnes, chercheurs et pêcheurs ont la7ncé le projet…
Le lycée professionnel Olivier-Guichard de Guérande a mis en place une plateforme numérique, créée par une start-up ligérienne et testée…
Face aux défis persistants en matière d’assainissement et à la manifestation des ostréiculteurs du 5 septembre, la communauté de communes…
