Privés de travail pendant la crise sanitaire, deux Parisiens associés au sein d’une société événementielle viennent d’achever leur première saison ostréicole sur l’île d’Oléron. La découverte d’un nouvel univers.Habitués au monde de la nuit et aux paillettes des soirées parisiennes, rien ne les prédestinait à travailler dans les claires, à brasser des poches ou …
Saisonniers : à mille lieues des soirées parisiennes
Cet article est réservé aux membres connectés.
Vous devez être connecté pour accéder à ce contenu.
